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Débat sur la prise en charge de l’enfant en demande de transition : les prises de position du collectif « la petite sirène »

Difficile de passer à côté ces derniers temps, tant on en parle dans la presse, dans les dîners et autour des tables familiales : le débat autour de la dysphorie de genre et de sa prise en charge, notamment chez l’enfant et l’adolescent, est devenu omniprésent.

En tête de ceux qui alertent sur les potentielles dérives et sur « l’idéologisation » de la question du genre, un collectif de médecins et d’intellectuels rassemblés au sein de « La Petite Sirène » ou « Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent » et dont le slogan est Sapere aude ! « Ose savoir ! ».

Ce collectif « souhaite mettre en garde les professionnels de l’enfance sur l’impact des réseaux sociaux et du militantisme [et entend] inviter parents et professionnels à questionner les pratiques qui en découlent, en particulier celles qui peuvent avoir des impacts durables et même irréversibles sur la santé et l’existence des enfants, sujets en devenir ».

Autour des trois coprésidentes, la psychanalyste et universitaire Céline Masson, la pédopsychiatre et psychanalyste Caroline Eliacheff et la psychologue clinicienne et psychanalyste Anna Cognet Kayem, se retrouvent dans un comité scientifique de nombreuses personnalités du monde médical (Catherine Dolto, Xavier Emmanuelli, René Frydman…).

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