Nouveau numéro de Tenou’a: La fabrique des chefs
L’édito de la rédaction du numéro 187 de Tenou’a: “La fabrique des chefs”
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L’édito de la rédaction du numéro 187 de Tenou’a: “La fabrique des chefs”
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À travers l’épisode d’Absalom tentant de gagner le cœur des foules dans le livre de Samuel, la prose biblique offre un texte tout d’actualité sur le surgissement du populisme en politique.
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“Communauté juive cherche un(e) rabbin, qui soit à la fois chef spirituel, enseignant, psychologue, ayant des connaissances approfondies de la tradition, l’histoire et les cultures juives, sachant être à l’écoute de personnes de tous âges, ayant de l’aisance avec les médias et les réseaux sociaux, l’habitude des discussions avec des autorités politiques et religieuses, des compétences de leader sachant galvaniser ses fidèles. Belle voix et accompagnement à la guitare ou au piano souhaités. Écrire sous chiffre 613.”
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Nous ne pouvions pas imaginer un numéro sur les chefs et le leadership sans donner la parole à la défense. Tenou’a a donc demandé à des rabbins de différentes sensibilités ce qui fait un bon rabbin ou chef de communauté.
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“Acquiers un ami”, disent les Pères. Pas si sûr, répond Rabbi Nahman de Braslav : “Que le crayon soit pour toi un ami”…
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Ambassadeur de France en Israël depuis 2019, Éric Danon s’entretient avec le rabbin Delphine Horvilleur sur ce qui fait un bon leader et sur les différents leaderships qu’il a eu l’occasion de côtoyer.
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Que nous apprend la psychanalyse de ce qui fait un leader ? Entre le chef tout-puissant et celui qui n’a que les atours du pouvoir, comment se dessine la civilisation ?
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PEDIGREE ET MÉRITOCRATIE DANS LA TRADITION JUIVE
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“Tout le monde sait comment on fait des bébés. Mais personne ne sait comment on fait des papas”
Papaoutai, de Stromae
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Les femmes seraient naturellement plus douces, moins brutales que les hommes, même lorsqu’elles deviennent cheffes ? Pas si simple, explique Ann-Gaëlle Attias. Peut-être la Torah nous permet-elle de chercher plutôt du côté du lien entre conquête du pouvoir et conquêtes sexuelles
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Interlocuteur juif privilégié du pouvoir politique en France, le CRIF est une institution non-cultuelle qui fédère la plupart des organisations juives de toutes sensibilités religieuses, politiques et sociales. Connu pour son « dîner du CRIF », le Conseil se retrouve de facto en position de représenter les Juifs face à l’État. Entretien avec son vice-président.
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Confinée dans sa maison de Normandie, Hélène Waysbord entend à la radio ce conseil : profiter de cet enfermement pour lire ou relire À la recherche du temps perdu de Proust.
Elle le prend au mot et écrit, en même temps qu’elle lit, un texte par-dessus un autre texte, qui deviendra La Chambre de Léonie.
Hélène Waysbord, agrégée de lettres classiques, est d’abord enseignante avant de devenir haut fonctionnaire auprès notamment de François Mitterrand. En 2013, elle publiait le bouleversant L’amour sans visage (voir Tenou’a n° 152-153 Été-Automne 2013) dans lequel elle revenait sur son destin d’enfant cachée et sur la tragique disparition de ses parents, assassinés durant la Shoah.
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Dans La France goy, Christophe Donner reconstitue le milieu interlope de la presse antisémite de la fin du XIXe siècle. Son arrière-grand-père Henri Gosset, dont il a retrouvé la correspondance, débarque à Paris à dix-sept ans, dans les années 1890. Ambitionnant de devenir kinésithérapeute, il se rend au cours d’anthropologie zoologique de Mathias Duval et rencontre Léon Daudet, qui l’intrigue et qu’il admire. Gosset pénètre le milieu de son nouvel ami, enthousiasmé par sa rhétorique tonique.
Christophe Donner se concentre alors sur le destin singulier d’Édouard Drumont, depuis son enfance miséreuse jusqu’au triomphe de La France juive en 1886 et le lancement de son quotidien La Libre parole en 1892.
Le récit oscille entre roman réaliste, roman épistolaire et farce ubuesque, et dévoile les dessous d’une République bien bancale.
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