Odelia Kammoun

Odelia Kammoun

Odélia Kamoun est dessinatrice et auteure de bande dessinée. Depuis 2017, elle publie dans chaque numéro de Tenou’a un épisode des aventures de l’âne et de la maîtresse d’école.
Elle est aussi très sympathique.

  • Odelia Kammoun

Le Lab La Parasha -d’odélia – 53

Ultime rendez-vous de la semaine (mais pas que…) avec Odelia Kammoun

Tu Et voilà, c’est de nouveau Pessah ! En cette fête particulièrement essentielle du calendrier juif, on ne lit pas de paracha particulière, mais des petits morceaux de Torah… qui parlent tous d’une seule et même chose : l’obligation pour les Juifs de célébrer la libération de l’esclavage en Egypte jusqu’à la fin des temps, autrement dit la fête de Pessah. Au programme, transmission, pain azyme et sacrifices d’agneaux ! ”

Ce dessin est le dernier de la série entamée par Odélia il y a un an. Mais l‘histoire ne s’arrête pas là, on vous en dit plus très vite. 

Et en attendant, toute la Team Tenoua vous souhaite Hag Pessah Sameah.

  • Odelia Kammoun

Le Lab La Parasha d’Odélia – 51

Odélia Kammoun continue d’explorer les lois de la pureté dans le Texte et de s’interroger sur la prophylaxie en vigueur :
“Cette semaine, dans la parasha Tazria, on continue de surfer sur la vague des impuretés. On démarre par les femmes qui viennent d’accoucher, puis on enchaîne (dans beaucoup de détails) sur les lépreux. C’est précis: descriptions des plaies, vêtements, mesures d’isolement, éventails de sacrifices possibles, etc. En même temps, quand on y pense, c’est peut-être pas mal de s’organiser pour que lépreux et nourrissons ne se côtoient pas forcément… “

 

  • Odelia Kammoun

Le Lab La Parasha d’Odélia – 50

Cette semaine une grande question traverse la parasha “Être ou ne pas être” (pur): “Dans la parasha Chemini, on fait connaissance assez brutalement avec une nouvelle notion : la pureté. Le Temple vient d’être inauguré (cf. la semaine dernière), et les deux fils d’Aaron, Nadab et Abihou, s’empressent d’enflammer leurs encensoirs parfumés, apportant ainsi en offrande un feu considéré “impur”… ce qui leur vaut d’être immédiatement frappés par la foudre. Dur. Deux cousins les portent hors du camp, puis on enchaine vite fait bien fait sur l’énumération des animaux purs et impurs à la consommation, autrement dit sur les origines de la Cacheroute. Et voilà, “le sacré” est né.