
Quel genre de rencontres fait-on en marchant ?
On fait toutes sortes de rencontres ! Que ce soit des rencontres amicales ou amoureuses… De nos jours, on remarque une grande difficulté à communiquer dans la vie réelle et nous avons été frappés par la solitude des gens. Parmi tous ceux qui nous rejoignent, beaucoup sont seuls, ou se sentent seuls, particulièrement des femmes. Or, lorsqu’on randonne en groupe, on peut communiquer très facilement.
Tioulim signifie « randonnées, excursions ». Pourquoi avez-vous créé cette association ?
Le but de la création de Tioulim était de faire des rencontres au sein de la communauté juive par le biais de séjours randonnée. Au départ, nous nous sommes dit qu’il n’existait pas d’associations de ce genre, qui permette, dans la communauté, de faire des séjours les plus abordables possibles, où les gens puissent se rencontrer. Nous avons créé l’association pendant le COVID, qui n’était bien sûr pas la meilleure période pour organiser des séjours, mais beaucoup de gens ont très vite adhéré au projet et on a pu organiser des week-ends de plus en plus nombreux. Nous avons rapidement vu le groupe se souder, avec une osmose et une envie de se revoir entre les séjours.