Quand mon boss m’a dit « Sharon, Tenou’a nous demande un papier sur le thème Y a-t- il un sex-appeal juif ? pour son prochain numéro consacré à la sexualité juive, tu t’y colles ! », je lui ai répondu « Je ne vais quand même pas pondre un article autobiographique, la décence a ses limites ! ». J’ai alors repensé à mes ex. On ne va pas se la raconter, les Juifs sont de mauvais coups.
N’en déplaise aux lecteurs qui s’insurgeront à tous les (mauvais) coups en me lisant, mais pour avoir testé un échantillon très représentatif de notre communauté mosaï(n)ique, je puis l’affirmer au plus profond de mon être.
Des Ashkénazes aux Séfarades, il n’y en a aucun pour rattraper l’autre. Mais les deux ont en commun le traumatisme de la circoncision qui les poursuit ad vitam æternam tout au long de leur vie sexuelle. À croire que la (que)quête d’un bout de peau enterré ils ne savent où par leur géniteur les transformeraient en Harrison Ford frustrés, à la recherche éternelle du prépuce perdu.
Passons rapidement sur la légende du circoncis dont les « performances » seraient bien supérieures à la moyenne des goys non-circoncis. La précocité est l’une des qualités, si l’on peut dire, de nos coreligionnaires.
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