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#tenou’a

© Tenou’a/EP

C’est drôle comme va le cycle du progrès.
Quand nous avons laissé la main à la nouvelle dream team de Tenou’a, nous sommes devenus les sages de l’association, et nos amitiés sont restées. Notre passion pour cette aventure est restée intacte, et nous avons été associés à toutes ses étapes clefs.

Pendant 20 ans, à mesure que la société continuait sa folle digitalisation, Tenou’a suivait le cours de ce que nous appelions le progrès.

Je crois pouvoir dire que nous avions créé le premier beth midrash du métavers. À chaque atelier, nous créions des lieux incroyables, inspirés par les grandes yeshivot de l’histoire du monde juif. Nous nous retrouvions à quelques centaines, parfois quelques milliers, pour travailler les textes dans des environnements, des pays, des lieux qui correspondaient aux grands penseurs qui avaient fait changer l’interprétation de ces textes. Lors de certains ateliers, nous allions d’une yeshiva à l’autre, passant de Lublin à Jérusalem, du Moyen Âge au xxie siècle pour vivre en direct ce choc des temps, cette confrontation des interprétations si particulière à notre tradition.

Dans ce même temps nous avons assisté avec satisfaction à ce qui paraissait impossible auparavant, un rapprochement respectueux des différentes tendances du judaïsme et Tenou’a s’est affirmé comme le moteur de ce mouvement.

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