
Le Lab L’enfant juif de Varsovie
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Brigitte Sion est experte internationale dans le domaine des musées, des mémoriaux et du patrimoine matériel. Elle est responsable du programme de subventions aux musées pour la Rothschild Foundation Europe. Elle est membre de la mission de préfiguration du Musée-Mémorial des Sociétés face au Terrorisme et siège au conseil d’administration du Mémorial d’Izieu et au conseil scientifique du Mémorial du Camp de Rivesaltes.
Elle est aussi très sympathique.
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La Maison d’Izieu, Mémorial des enfants juifs exterminés, fut le lieu de vie et de refuge d’enfants juifs durant la guerre jusqu’à ce que, le 6 avril 1944, Klaus Barbie, à la tête d’hommes de la Gestapo et de la Wermacht, ne vienne rafler tous ceux qui se trouvaient là. Des 51 personnes arrêtées, 44 enfants et 7 adultes, seule Léa Feldblum, éducatrice de la colonie, survivra à Auschwitz. En 1943, les enfants menés par le cuisinier, passionné de cinéma, créent une « lanterne magique », – un instrument d’optique qui sert à projeter des images sur un écran ou sur un mur.
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Depuis son enfance, Sally Berkovic côtoie les morts. Née en Australie de parents slovaques survivants de la Shoah, elle a grandi sans grands-parents. Sa mère, son père et son frère sont morts soudainement à un âge encore jeune. Dans un livre intitulé Devoirs mortuaires :
La société funéraire juive Hevra kaddisha, publié en anglais en 2022, elle fait dialoguer son expérience de la mort avec son engagement au sein de la Hevra kaddisha de sa communauté orthodoxe de Londres où elle vit et travaille depuis une trentaine d’années.
La Hevra kaddisha, est un groupe de bénévoles juifs qui se charge avec discrétion de la toilette mortuaire (tahara) avant l’enterrement du défunt.
Nous reproduisons ici la section qui traite de la mort et des rituels funéraires juifs pendant la pandémie du Covid, ainsi qu’un appel vibrant aux Juifs afin qu’ils s’engagent dans une Hevra kaddisha et accomplissent ainsi la mitsva revêtant le plus d’abnégation puisqu’ils ne peuvent être remerciés.
Textes choisis et présentés par Brigitte Sion
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Dans le judaïsme libéral, des femmes sont rabbins depuis plusieurs décennies. Dans le monde orthodoxe, ce phénomène est plus récent. Ruth Balinsky Friedman, 29 ans, figure parmi les premières: “Maharat” depuis 2013, elle exerce à la synagogue Ohev Sholom à Washington, aux États-Unis. Elle explique son rôle à Tenou’a.
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La Fondation Rothschild Hanadiv Europe vient de publier un incroyable thésaurus des objets de la vie et du culte juifs, accessible gratuitement en ligne, dans quinze langues, et qui promet de continuer à s’étoffer.
Un endroit fabuleux où apprendre, et aussi se perdre avec curiosité, que nous présente sa conceptrice, Brigitte Sion.
www.judaicaindex.org
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“Communauté juive cherche un(e) rabbin, qui soit à la fois chef spirituel, enseignant, psychologue, ayant des connaissances approfondies de la tradition, l’histoire et les cultures juives, sachant être à l’écoute de personnes de tous âges, ayant de l’aisance avec les médias et les réseaux sociaux, l’habitude des discussions avec des autorités politiques et religieuses, des compétences de leader sachant galvaniser ses fidèles. Belle voix et accompagnement à la guitare ou au piano souhaités. Écrire sous chiffre 613.”
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